Actualités | 06 février 2023
Rencontre annuelle entre l’ASF et des représentants européens à Bruxelles
LES FINANCEMENTS SPÉCIALISES AU SERVICE DES GRANDS ENJEUX EUROPÉENS
L’Association française des Sociétés Financières a réuni son Conseil à Bruxelles le 31 janvier, pour la douzième année consécutive.
Cet événement a permis aux professionnels, membres du Conseil de l’ASF et qui dirigent les principaux établissements français spécialisés en affacturage, cautions et garanties, crédit-bail, crédit à la consommation, titrisation et services d’investissement, de rencontrer des représentants du Parlement, de la Commission et du Conseil de l’Union européenne. Ils ont évoqué ensemble les grands sujets européens actuels et à venir :
• Financement de la transition écologique et numérique
• Stratégie européenne pour la finance de détail et les investissements des ménages
• Transposition des accords de Bâle III dans la réglementation prudentielle européenne
• Révision des directives sur le crédit aux consommateurs et les services financiers à distance
• Lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LCB-FT)
Les dirigeants qui étaient présents à Bruxelles sont pour la plupart des acteurs européens de premier plan, implantés sur les différents marchés de l’Union.
De plus, l’ASF est impliquée dans la gouvernance de trois fédérations européennes avec une présence active au board d’Eurofinas pour le crédit à la consommation, d’EUF pour l’affacturage et de Leaseurope pour le leasing financier.
A l’issue de ce Conseil, Frédéric Jacob-Peron, Président de l’ASF, a déclaré : « Après deux années de rencontres à distance, ces échanges avec nos interlocuteurs européens à Bruxelles sont l’opportunité pour nous d’évoquer les prochains grands enjeux concernant nos métiers. Dans la période d’instabilité que nous traversons, il est essentiel pour l’ASF de maintenir ce dialogue direct afin de promouvoir le rôle des financements spécialisés dans l’économie réelle. Nous sommes des acteurs de « terrain » du financement des ménages et des entreprises. Pour que nous puissions continuer à irriguer et soutenir l’économie, les décisions prises au niveau européen ne doivent pas entraver notre dynamisme au service d’une croissance plus verte».